Reportage N° 1
Le présent article est le premier d'une série de quatre destinés à donner une vue d'ensemble des nouveaux services mobiles par satellite proposés, dans le cadre du Forum mondial des politiques de télécommunication organisé par l'Union internationale des télécommunications du 21 au 23 octobre à Genève.
Ce premier article donne un aperçu général
des nouveaux systèmes proposés, de ce qu'ils pourront offrir
aux usagers et des questions liées à leur mise au point et
à leur fonctionnement. Les articles suivants examineront plus en
détail les Mini LEO ou Super LEO, tandis que le dernier article
de la série traitera de manière approfondie des problèmes
d'ordre juridique, politique, économique et réglementaire
que posent ces systèmes. Toutes ces questions serviront de base
aux travaux du Forum mondial des politiques de télécommunication.
En octobre de cette année, l'UIT tiendra son tout premier Forum mondial des politiques de télécommunication consacré aux communications personnelles mobiles mondiales par satellite (GMPCS). Ce sigle un peu rébarbatif est le terme générique utilisé pour désigner divers systèmes à satellites novateurs, qui pourraient bien transformer radicalement les modes de communication à travers le monde.
Le développement de la mobilité des personnes, la restructuration des accords de commerce internationaux et l'évolution des transports internationaux – moins chers et plus rapides – conjugués aux progrès spectaculaires enregistrés dans le domaine des communications, ont favorisé une mondialisation rapide de l'économie. Ce processus a entraîné de profondes mutations, et constitue le principal facteur à l'origine du développement des nouveaux systèmes mobiles à satellites.
S'il est vrai que la téléphonie cellulaire a transformé les méthodes de travail modernes en rendant le personnel plus mobile et plus facile à joindre, deux problèmes subsistent néanmoins. Premièrement, on ne peut joindre l'utilisateur d'un téléphone mobile que s'il se trouve à la portée d'une "cellule" téléphonique mobile. Or, les réseaux cellulaires d'un grand nombre de pays n'assurant pas de "couverture générale", les téléphones ne fonctionneront pas partout. Cela est particulièrement vrai pour les zones isolées ou peu peuplées, où il ne sera peut-être pas rentable d'installer les équipements nécessaires à la mise en oeuvre du réseau.
Deuxièmement, on pourra sans doute joindre des collègues en voyage d'affaires dans leur pays, mais il sera en revanche beaucoup plus difficile de les contacter lorsqu'ils sont à l'étranger. Les premiers systèmes téléphoniques mobiles ont en effet été conçus pour être utilisés à l'intérieur d'un seul pays. Par la suite, on a admis qu'il fallait également prévoir la possibilité d'utiliser ces systèmes dans le monde entier, notamment dans les régions comme l'Europe, où les hommes d'affaires passent fréquemment d'un pays à l'autre. C'est pourquoi on a mis au point pour la téléphonie mobile le système GSM, qui offre aux utilisateurs une possibilité de "déplacement international". Ce système permet à un utilisateur d'établir et de recevoir une communication téléphonique depuis n'importe quel autre pays doté d'un réseau GSM et ayant conclu un "accord de déplacement" avec le pays d'origine. Le problème de ce système est qu'il ne permettra sans doute pas, semble-t-il, de répondre aux besoins prévus initialement, à savoir assurer une parfaite continuité pour les communications internationales. Plusieurs pays ont mis en oeuvre un réseau GSM, mais il arrive que certains d'entre eux n'autorisent pas les utilisateurs d'autres pays à établir ou à recevoir des communications faute d'avoir conclu un accord en matière de déplacement.
En conséquence, certaines entreprises ont conçu de nouveaux systèmes qui permettront de joindre tous les utilisateurs, sans contrainte de temps ni de lieu. Ces systèmes emploient des réseaux à satellite et seront les systèmes GMPCS de l'avenir.
En fait, ils ne sont pas simplement un système téléphonique mondial de plus, car ils offriront de nouvelles fonctions beaucoup plus perfectionnés. Imaginez par exemple que vous faites un voyage d'affaires dans une région reculée de la Chine. Pour les besoins de votre travail, vous devez appeler un collègue à votre bureau de Paris. Vous souhaitez également envoyer d'urgence une télécopie à un client à Moscou depuis votre ordinateur portable, ce qui vous oblige à accéder aux données d'une feuille de calcul électronique se trouvant sur l'unité du réseau du siège social de votre entreprise à Montréal. Malheureusement, vous auriez très peu de chances de pouvoir établir ces connexions aujourd'hui. Premièrement, vous ne seriez pas en mesure de joindre votre correspondant à Paris, car même avec votre téléphone GSM, vous vous trouvez hors de la portée d'un système cellulaire. Qui plus est, il n'existe pas d'accord de déplacement international GSM entre la France et la Chine. Enfin, étant donné que vous ne vous trouvez pas à proximité d'un téléphone fixe, vous ne pouvez ni envoyer votre télécopie, ni accéder aux données que vous devez consulter sur le serveur de votre société au Canada.
Les systèmes GMPCS devraient radicalement modifier cet état de choses. Il est prévu que les nouvelles constellations de satellites non géostationnaires qui doivent entrer en service au cours des prochaines années offriront des communications mondiales sans solution de continuité entre n'importe quel point de la planète. Ainsi, vous pourrez transmettre non seulement des signaux vocaux, mais aussi des données, du son et des images, ce qui vous permettra d'envoyer à votre client russe les données relatives à votre projet commun – par exemple un nouveau puits de pétrole – , voire les plans de l'installation proposée et une présentation informatisée du modèle. Théoriquement, vous aurez également la possibilité d'établir une conférence téléphonique avec des collègues partout dans le monde, d'entendre et de voir vos collaborateurs en vidéo de qualité radiodiffusion et d'apporter des modifications en temps réel à des documents apparaissant simultanément sur les écrans des ordinateurs.
Il va sans dire que certaines de ces fonctions multimédia perfectionnées sont encore loin d'être une réalité. Ainsi, les techniques informatiques nécessaires pour accomplir des opérations complexes telles que la vidéo en temps réel sur un ordinateur personnel portable par l'intermédiaire d'un satellite à défilement en sont encore à l'état de projet. Et même si les divers systèmes à satellites envisagés sont mis en service conformément au calendrier, il faudra sans doute résoudre encore de nombreux problèmes techniques pour qu'ils puissent transmettre un simple circuit téléphonique avec la fiabilité requise. Du reste, ces services seront probablement trop onéreux, pour le grand public, tout au moins au départ.
Toujours est-il que nous sommes aujourd'hui sur le point d'avoir accès à des systèmes de communication mondiale – hier encore inimaginables, qui offriront une multitude de nouveaux débouchés commerciaux, aux entrepreneurs avisés et aux prestataires de communication en place ainsi qu'une large gamme de services novateurs et attrayants aux utilisateurs. À l'instar du réseau Internet autrefois le domaine réservé d'universitaires enfermés dans leur tour d'ivoire, mais à présent dominé par de jeunes surfeurs branchés du Web, les nouveaux services mobiles mondiaux devraient rapidement se généraliser avec la croissance du marché et la baisse des prix. Toutefois, ils ne devraient attirer dans un premier temps qu'un groupe restreint d'utilisateurs professionnels. Comme pour Internet, nous en sommes réduits à des conjectures sur la nature des services auxquels les utilisateurs de ces nouveaux réseaux à satellite auront accès dans 20 ans. Combien de chercheurs auraient imaginé que leur réseau de recherche fermé fournirait un jour à un marché de consommation de masse des bulletins d'information, des prévisions météorologiques, des horoscopes, des services de vente au détail, des services bancaires et des renseignements pour le grand public?
Selon quelles modalités et quand les nouveaux systèmes GMPCS entreront-ils en service? Premièrement, il convient de faire une distinction importante entre les deux principaux types de systèmes envisagés actuellement. Les premiers, connus sous le terme générique de satellites "Mini LEO", fourniront divers services de transmission de données et de textes. Les seconds, appelés "Super LEO", offriront à l'échelle mondiale des services téléphoniques, de télécopie, voire des services large bande*, qui se caractériseront par une parfaite continuité.
Les satellites sur orbite terrestre basse (satellites LEO) sont situés à une distance de 700 à 1 500 km de la Terre. Leur orbite n'est "basse" que par rapport aux satellites de communication géostationnaires classiques, qui occupent des positions orbitales à 36 000 km au-dessus de la Terre. Ces satellites sur orbite basse restent situés à des altitudes presque deux fois plus grandes que la station spatiale Mir, qui fonctionne sur une orbite à 400 km au-dessus de la Terre environ. Ces systèmes sont non géostationnaires, en ce sens qu'ils se déplacent par rapport à la surface de la planète. Lorsqu'ils fonctionnent, ils forment une constellation mobile tout autour du globe et assurent la retransmission de messages entre eux et les utilisateurs et/ou des stations terriennes.
Les "Mini LEO" seront sans doute les premiers à être mis en oeuvre intégralement. Certains systèmes sont déjà exploités en partie en ligne et la plupart devraient commencer à offrir des services entre 1997 et 1998.
Les "Mini LEO" sont de petits satellites d'environ 1 m3 et 100 kg. La plupart des entreprises concernées proposent de les utiliser comme des systèmes dits "d'aiguillage" ou encore des systèmes d'enregistrement et de retransmission. Les premiers assurent la retransmission de messages directement entre les utilisateurs, tandis qu'avec les seconds, le satellite reçoit l'information provenant d'une station au sol, l'enregistre dans une mémoire placée à bord, poursuit sa trajectoire sur son orbite et transmet l'information à la prochaine station au sol – ou à l'utilisateur concerné. Les utilisateurs auront accès aux nouveaux systèmes "Mini LEO" à l'aide de petites unités de messagerie portables de moins de 500 grammes et équipées d'une antenne équidirective de faible puissance.
Les services offerts par les Mini LEO trouveront toutes sortes d'applications. La messagerie, qui devrait susciter une forte demande, englobera le courrier électronique, un accès limité à Internet, la radiorecherche bidirectionnelle et la télécopie. Les communications de données à distance joueront elles aussi un rôle essentiel, notamment pour les services d'urgence.
Au nombre des autres créneaux importants figureront la localisation numérique (pour le marché de la gestion des transports), la surveillance de l'environnement et la surveillance et l'acquisition de données (SCADA), système qui assure la télésurveillance d'installations isolées telles que les mines, les raffineries de pétrole, etc. Les entreprises qui proposent des systèmes Mini LEO misent sur la fourniture rapide et à bon marché des services et tablent sur le fait qu'elles s'implanteront sur le marché bien avant les autres.
Toutefois, alors que les Mini LEO seront sans doute les premiers à être commercialisés, ce sont les Super LEO qui retiendront l'attention des médias. La plupart d'entre eux ne seront pas mis en oeuvre avant 1998 au moins, mais ils devraient offrir aux utilisateurs davantage de services, le plus connu étant la téléphonie mobile à l'échelle mondiale, qui permet d'établir et de recevoir des communications avec un téléphone mobile partout dans le monde. Mais il sera aussi possible d'avoir accès à d'autres services comme la transmission de données et de télécopie, voire des systèmes vidéo large bande (du moins dans le cas d'un système proposé). Sur ce marché où la concurrence est extrêmement vive, les principales entreprises concernées proposeront de petits terminaux mobiles de poche, à peine plus grands que les téléphones cellulaires actuels, mais dotés d'une antenne plus grande (en fait, ces appareils ressemblent un peu aux téléphones mobiles analogiques utilisés au milieu des années 80.)
Les Super LEO comprendront une constellation de plusieurs satellites qui se déplaceront autour du globe et qui recevront des communications téléphoniques qu'ils retransmettront vers une région, un pays, un continent ou un autre satellite. Certains des systèmes en projet prévoient d'assurer des communications entre satellites et formeront ainsi un vaste réseau grande distance. Toutefois, la plupart d'entre eux utilisent les liaisons montantes et descendantes de stations terriennes pour la transmission du circuit téléphonique.
Les atouts des Super LEO paraissent évidents, mais encore faut-il tenir compte de leur coût. Par rapport aux Mini LEO, le coût d'une communication – du moins au départ, sera sans doute prohibitif pour la plupart des utilisateurs, à l'exception des grandes entreprises ayant réellement besoin d'assurer instantanément et en tout temps des communications téléphoniques mondiales avec des zones isolées. Or, dans bien des cas, les réseaux à fibres optiques en place ou les services de mise en réseau à valeur ajoutée proposés actuellement par la plupart des grandes entreprises de télécommunication permettent déjà de répondre aux besoins des utilisateurs qui doivent simplement utiliser un réseau téléphonique mondial ou un réseau informatique à grande vitesse à couverture mondiale.
Par ailleurs, les services offerts exclusivement par les Super LEO sont d'ores et déjà disponibles dans une certaine mesure. Le système à satellites mobile INMARSAT 3 a déjà accepté de transmettre ses premières communications à l'aide de nouveaux satellites à faisceau ponctuel. Ce système utilise de petits combinés (mais non des terminaux de poche) et applique pour une communication environ le même tarif que les Super LEO. Le temps de transmission du système est certes un peu plus long et INMARSAT 3 n'est pas en mesure de fonctionner comme un talkiewalkie. Il n'en demeure pas moins que les éléments de base de nombre de systèmes Super LEO en projet sont à la disposition des utilisateurs qui sont prêts à en payer le prix.
Cela nous amène au problème le plus critique, à savoir celui de la tarification. Quel prix les utilisateurs seront-ils prêts à payer, tant pour le combiné que pour la durée de la communication? Pour le moment, les chiffres sont un peu incertains, mais il serait sans doute plus prudent de dire que la plupart des systèmes envisagent d'appliquer un tarif compris entre 1 et 3 dollars EU la minute pour le service téléphonique. Cependant, comme presque tous les opérateurs passeront par des revendeurs pour commercialiser leurs services, ce tarif ne reflétera peut-être pas le coût encouru par l'utilisateur, qui pourrait donc être beaucoup plus élevé. Par ailleurs, le prix d'un combiné devrait osciller entre 700 et 3 000 dollars EU.
Avant de renoncer au système en affirmant qu'il est trop cher, il convient de rappeler que les prix pratiqués pour les premiers téléphones mobiles analogiques étaient similaires et que le coût des communications sur les réseaux cellulaires a considérablement baissé, le nombre d'utilisateurs ayant augmenté et les marchés étant désormais bien établis. Tout porte à croire qu'il en ira de même pour les nouveaux services mondiaux par satellite, mais l'échelonnement dans le temps d'une réduction significative des prix dépendra du nombre d'utilisateurs qui opteront pour le service au début de sa mise en oeuvre.
Les marchés que représentent les Mini LEO et les Super LEO feront l'objet d'un prochain article. Nous allons maintenant aborder le cas d'un opérateur à part, dans la mesure où les systèmes qu'il offre ne correspondent techniquement ni aux Super LEO, ni aux Mini LEO. Il s'agit du système Teledesic, qui est proposé par la société créée par Bill Gates (Microsoft), conjointement avec Craig McCaw (fondateur de McCaw Cellular, société rachetée en 1994 par AT&T). Comme les Super LEO, le système offrira des services téléphoniques ainsi que des services de transmission de données et de télécopie. Mais à la différence de ces systèmes, le système Teledesic sera axé sur le marché de l'informatique et fera une plus large place aux fonctions de transfert de données à grande vitesse qu'à la fourniture de services téléphoniques mobiles.
Le système Teledesic, qui comprend de loin le plus grand nombre de satellites (il s'agit d'une constellation d'une centaine d'unités réparties autour du globe sur l'orbite des satellites non géostationnaires), vise à fournir aux utilisateurs des services multimédias à large bande et leur permettra d'avoir accès rapidement à des données, des textes, des images fixes et animées et du son, et d'en assurer le transfert partout dans le monde. Les objectifs du système sont extrêmement ambitieux et sa mise en service ne devrait pas intervenir avant 2001. Mais s'il se concrétise, il pourrait représenter un changement radical dans le domaine des communications personnelles et des communications d'entreprise. Teledesic fait valoir que le coût des communications – il s'agira essentiellement de liaisons de transfert de données – sera nettement inférieur à celui appliqué pour d'autres systèmes. Quant au prix des terminaux d'usager, il n'a pas encore été fixé.
Les opérateurs éventuels de systèmes GMPCS ont encore beaucoup à faire avant que les systèmes se généralisent dans l'environnement des télécommunications mondiales. Tout d'abord, il leur faut résoudre un certain nombre de problèmes techniques concernant la mise au point, le lancement et le fonctionnement de ces constellations de satellites complexes. Par ailleurs, étant donné que les systèmes de ce genre sont inédits, ils soulèveront inévitablement des difficultés avant de pouvoir fonctionner de manière harmonieuse et avec une bonne qualité de service.
Par ailleurs, ce nouveau marché suscite une concurrence très vive et un grand nombre d'analystes du secteur estiment que les opérateurs actuellement sur les rangs ne pourront sans doute pas s'y implanter pour la fourniture de services. Il y aura incontestablement des laissés pour compte à mesure que les forces du marché écarteront les opérateurs qui ne sont pas en mesure de trouver les fonds nécessaires, qui sont moins compétitifs ou qui ne parviennent pas à offrir la qualité voulue pour la fourniture du service.
Il se peut aussi que l'octroi de licences d'exploitation au niveau international constitue un écueil pour les opérateurs. Les problèmes d'incompatibilité que connaissent les réseaux cellulaires en place pour le déplacement d'un pays à l'autre risquent fort de se poser aussi pour les nouveaux réseaux GMPCS, sauf si la plupart des opérateurs parviennent à obtenir des licences d'exploitation dans une majorité de pays au moins.
Enfin, les opérateurs auront du mal à persuader les usagers d'investir des sommes d'argent non négligeables pour pouvoir utiliser un système dont bon nombre d'entre eux n'ont peut-être pas besoin. Il est certes extraordinaire de pouvoir appeler quiconque, à tout moment et en tout lieu, mais une fois passé le charme de la nouveauté, combien d'entre nous auront réellement besoin ou envie de le faire? Quand les tarifs baisseront, peutêtre estimerons-nous que cela vaut la peine de payer un prix un peu plus élevé pour avoir accès à cette option, mais la concurrence initiale que se livrent les opérateurs pour conquérir des parts de marché sera sans doute très vive.
Cela étant, il est évident que les nouveaux services GMPCS joueront un rôle déterminant dans le développement des communications mondiales et infléchiront sensiblement l'évolution des marchés de télécommunication et de l'informatique au cours des dix à vingt prochaines années.
Les questions politiques, sociales, socio-économiques et réglementaires que soulève la fourniture de ces nouveaux services à couverture mondiale feront l'objet d'un prochain article et seront également examinées par le Forum mondial des politiques de télécommunication organisé en octobre par l'Union internationale des télécommunications. Au cours de ce Forum, des exploitants et des prestataires de service rencontreront des représentants d'administrations de télécommunication mondiales et d'organismes de réglementation pour arrêter une stratégie concernant la mise en oeuvre des GMPCS.
Nous assistons actuellement à l'avènement d'un nouveau mode de communication. La transition sera-t-elle difficile? La réponse est entre les mains des entreprises et des États.
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